Oui, là est un des éléments de la problématique: combien d'échecs de plantation de Jubaea pour un exemplaire restant?gabrytrachy a écrit : Suffit-il un Jubea centenaire pour définir une zone Jubea? Suffire peut être pas, mais je trouve que c'est un bon indice. Spécialement si c'est vraiment le seul qui a été planté. Dans ce cas le rapport plantés/survécus serait exeptionnel.
Pau au XIXème siècle accueillait une clientèle internationale d'hivernants. Celà a débouché sur un intérêt local certain pour les plantes exotiques de la part de particuliers ou de la municipalité.
Mais la municipalité a été assez frileuse en ne plantant que du Trachycarpus en grande masse, et rien d'autre excepté parfois des Ensete et des Agaves.
Un plus grand choix de palmiers et autres exotiques a été réservé au Palmarium, une grande serre-salle de réception et de jeux.
Je sais que quelques rares amateurs ont fait des tentatives d'acclimatation, notamment sur les coteaux environnants, mais je n'ai que la mention de Washingtonias figurant dans un jardin, c'est bien maigre comme information pour pouvoir recenser ce qui avait été tenté à l'époque.
Malgré toutes mes recherches sur le terrain, je n'ai trouvé aucun survivant de cette époque hors Trachys, hormis le Jubaea dont je parle plus haut.