Re: (62) Mon jardin dans le Pas de Calais.
Posté : 10 nov. 2020 10:35
Pour FOOL:
Les bananiers sont des Basjoo. Chaque hiver, je protège le pied à l'aide de feuilles mortes. Les pieds qui ont fleuri sont coupés et j'ai de nombreux rejetons qui prennent le relais, ce qui m'a permis de créer de nouveaux îlots et même d'en offrir aux amis.
Le Butia est protégé de la pluie car j'en ai perdu deux gros à la suite de chute de neige. Je pense qu'ils ne supportent pas l'humidité dans le coeur et les palmes sont difficile à regrouper. L'an prochain, je ne pourrai plus utiliser la protection actuelle et il faudra improviser (ou laisser faire la nature).
Même chose pour le Phoenix. Jusqu'à l'hiver dernier, il a été protégé et chauffé par une guirlande électrique (qui n'a pas servi car nous n'avons pas eu de gelées. Juste quelques matins à -1°).
Cette année, je ne protège que le pied après avoir ficelé les palmes. Idem pour les Brahea edulis.
Le Sabal palmeto a été planté il y a vingt ans et sa vitesse de croissance est désespérante.
Je pense que l'expérience peut être tentée à Bruxelles en protégeant les palmiers quand ils sont encore petits. Il faut bien choisir l'emplacement.
Les protections, ce n'est pas beau et l'hiver, le jardin ressemble à un camp de migrants. Mais après quelques saisons, le résultat compense largement le désagrément.
Les bananiers sont des Basjoo. Chaque hiver, je protège le pied à l'aide de feuilles mortes. Les pieds qui ont fleuri sont coupés et j'ai de nombreux rejetons qui prennent le relais, ce qui m'a permis de créer de nouveaux îlots et même d'en offrir aux amis.
Le Butia est protégé de la pluie car j'en ai perdu deux gros à la suite de chute de neige. Je pense qu'ils ne supportent pas l'humidité dans le coeur et les palmes sont difficile à regrouper. L'an prochain, je ne pourrai plus utiliser la protection actuelle et il faudra improviser (ou laisser faire la nature).
Même chose pour le Phoenix. Jusqu'à l'hiver dernier, il a été protégé et chauffé par une guirlande électrique (qui n'a pas servi car nous n'avons pas eu de gelées. Juste quelques matins à -1°).
Cette année, je ne protège que le pied après avoir ficelé les palmes. Idem pour les Brahea edulis.
Le Sabal palmeto a été planté il y a vingt ans et sa vitesse de croissance est désespérante.
Je pense que l'expérience peut être tentée à Bruxelles en protégeant les palmiers quand ils sont encore petits. Il faut bien choisir l'emplacement.
Les protections, ce n'est pas beau et l'hiver, le jardin ressemble à un camp de migrants. Mais après quelques saisons, le résultat compense largement le désagrément.