BLACHERE Eric a écrit :Si tu essaye pas tu saura jamais , et si tout le monde pense la même chose en regardant autour d'eux, le paysage est pas près de changer, en plus vu le prix des plantules surtout les rob., tu perdra pas grand chose.civodulbx a écrit :J'ai envie d'être optimiste pour la culture du washingtonia robusta et filifera dans la campagne Bordelaise, mais étant donné que je n'en vois quasiment pas, je me pose des questions
La rusticité des palmiers
Re: La rusticité des palmiers
Tout à fait d'accord Les plantules ne sont pas chères certainement oui. Encore mieux, j'ai pu avoir des graines qui proviennent de Thaïlande pour le robusta donc je ne me prive pas d'essayer. Quant au filifera, je continue à soigner les plantules issues de graines commandées chez rps.
Re: La rusticité des palmiers
C'est sûr que tu as plus de chances de le réussir que moicivodulbx a écrit :Malgré tout Pierre, je vais quand même essayer car j'habite plus près de l'océan et nos climats diffèrent quelque peu. Pour exemple, ce matin, tu as dû avoir 3 degrés de moins que moi je pense.Pierre31 a écrit :Ici ,je l'ai essayé plusieurs fois (que des petits): le robusta ne tient pas. Le filifera oui, mais chez mon voisin
Re: La rusticité des palmiers
On verra bien, je reste optimiste sans l'être trop car pas de washingtonia connu dans le coin. En fait, j'habite à 5kms de Bordeaux intra muros et j'en connais juste deux juste avant d'arriver à Bordeaux, de 2 / 3 m de hauteur. Mais ils sont bien protégés (végétation et maison à côté, ils sont pas en plein milieu d'un jardin quoi !).
Mais bon, je les tenterai une fois que je serai dans la maison de mes rêves ( ) d'ici la fin de l'année/début d'année prochaine. Et là , on peut enlever facilement 3° par rapport à la température de Bordeaux centre.
Mais bon, je les tenterai une fois que je serai dans la maison de mes rêves ( ) d'ici la fin de l'année/début d'année prochaine. Et là , on peut enlever facilement 3° par rapport à la température de Bordeaux centre.
Re: La rusticité des palmiers
Pour revenir précisément sur le sujet, y en-a-t-il parmi vous qui ont déjà expérimenté la rusticité de leurs palmiers sans aucun dégel par exemple ? sur quelle variété ? sur un sujet de quel âge ? quelle exposition ? quelle protection ? combien de temps ?
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Re: La rusticité des palmiers
Je ne pense pas que le maintien à de basses températures plusieurs jours, soit préjudiciable au palmier, à condition qu'on soit suffisamment loin de la température létale, donc au dessus ou au dessous de 0° importe peu en fait. Un cocotier supportera sans doute quelques jours à +5°, un Washingtonia autour de -5° constants, etc...
Ou est la limite en température et en durée, et quand la combinaison des 2 devient elle dangereuse, je ne sais pas, là est la question.
Ce qui est dommageable surtout, c'est l'alternance journalière de gel et dégel, de soleil et de pluie ou neige, je pense que ça "use" les tissus de la plante et perturbe son métabolisme, mais c'est un sentiment, je ne peux pas étayer mon hypothèse.
Ou est la limite en température et en durée, et quand la combinaison des 2 devient elle dangereuse, je ne sais pas, là est la question.
Ce qui est dommageable surtout, c'est l'alternance journalière de gel et dégel, de soleil et de pluie ou neige, je pense que ça "use" les tissus de la plante et perturbe son métabolisme, mais c'est un sentiment, je ne peux pas étayer mon hypothèse.
- BLACHERE Eric
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Re: La rusticité des palmiers
Je me demande même si les plantes à l'ombre n'aurait pas moins de dégâts au dégel qu'en plein soleilMichel Greco a écrit :Je ne pense pas que le maintien à de basses températures plusieurs jours, soit préjudiciable au palmier, à condition qu'on soit suffisamment loin de la température létale, donc au dessus ou au dessous de 0° importe peu en fait. Un cocotier supportera sans doute quelques jours à +5°, un Washingtonia autour de -5° constants, etc...
Ou est la limite en température et en durée, et quand la combinaison des 2 devient elle dangereuse, je ne sais pas, là est la question.
Ce qui est dommageable surtout, c'est l'alternance journalière de gel et dégel, de soleil et de pluie ou neige, je pense que ça "use" les tissus de la plante et perturbe son métabolisme, mais c'est un sentiment, je ne peux pas étayer mon hypothèse.
Eric.
- Domi
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Re: La rusticité des palmiers
En 1985, de nombreux Trachycarpus fortunei ont subi deux semaines sans dégel dans la région, avec des minima de -20°C par endroits ; il y a eu beaucoup de pertes mais il y a aussi des survivants qui sont toujours là , souvent exposés protégés du vent du Nord pour ceux que je connais. C'était des sujets déjà adultes...aucune protection sur ces sujets, ils ont été défoliés à 100% mais sont repartis pendant l'été.civodulbx a écrit :Pour revenir précisément sur le sujet, y en-a-t-il parmi vous qui ont déjà expérimenté la rusticité de leurs palmiers sans aucun dégel par exemple ? sur quelle variété ? sur un sujet de quel âge ? quelle exposition ? quelle protection ? combien de temps ?
Re: La rusticité des palmiers
mais ça ressemble encore à quelque chose un trachy adulte défolié à 100% ?
"Heureux soient les fêlés car ils laisseront passer la lumière"
- Domi
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Re: La rusticité des palmiers
Juste un stipe, mais c'est juste quelques mois...après ça repousse ; c'est pour cela qu'il se dit que des Trachy ont été arrachés trop rapidement, croyant qu'ils étaient morts, alors que certains seraient peut-être repartis...faut être patient quand ça arrive....malaga a écrit :mais ça ressemble encore à quelque chose un trachy adulte défolié à 100% ?
Par contre, il y a des Chamaeops humilis qui ont subi les mêmes températures, ont gelé jusqu'au sol et sont repartis ; ils ont vite refait une touffe intéressante, alors que des Trachy eux n'étaient plus là ...j'en connais un exposé Est qui a gelé à -21°C je crois, et qui a repoussé...
Re: La rusticité des palmiers
Ben à mon avis, ça ressemble à un stipe seulement...
malaga a écrit :mais ça ressemble encore à quelque chose un trachy adulte défolié à 100% ?
Re: La rusticité des palmiers
Un poteau de telephone, quoi!
J'ai aussi vu des trachys non défoliés cet hiver là !
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Re: La rusticité des palmiers
dans ce cas, on n'a plus un beau trachy et c'est irrémédiable, le stipe est trop important par rapport aux palmes!
décidément le chamaerops n'a pas fini de nous étonner!
décidément le chamaerops n'a pas fini de nous étonner!
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Re: La rusticité des palmiers
ben non, c'est sûr qu'on n'a plus un beau trachy s'il est défolié suite à de très basses températures... Mais ce n'est pas irrémédiable puisqu'il repart au printemps malaga ! eh ouai, c'est le prix à payer
malaga a écrit :dans ce cas, on n'a plus un beau trachy et c'est irrémédiable, le stipe est trop important par rapport aux palmes!
décidément le chamaerops n'a pas fini de nous étonner!
- BLACHERE Eric
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Re: La rusticité des palmiers
Ouf j'ai eu peur, je croyais que tu allais écrire un manche de balai à ch...Pierre31 a écrit :Un poteau de telephone, quoi!
J'ai aussi vu des trachys non défoliés cet hiver là !
Eric.
Re: La rusticité des palmiers
ha ben non Eric, ça, c'est quand il reste encore un peu de vert...
BLACHERE Eric a écrit :Ouf j'ai eu peur, je croyais que tu allais écrire un manche de balai à ch...Pierre31 a écrit :Un poteau de telephone, quoi!
J'ai aussi vu des trachys non défoliés cet hiver là !